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C'est quoi cette fin ?!

C’est quoi ce travail ?! Le mot de la fin

Voilà c’est fini depuis le 18 décembre 2011. En six semaines, un peu plus de 560 personnes ont assisté aux projections, rencontres et autres animations. Bien sûr, ce n’était qu’une toute petite exploration très incomplète de ce sujet brûlant et inépuisable mais nous avons eu à cœur de proposer un projet transversal s’adressant au plus grand nombre.

C’est quoi ce travail ?! se poursuit à travers ce blog aussi n’hésitez pas à poster vos billets.

A tous, nous adressons nos remerciements pour votre participation.

Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d'année

Les bibliothécaires

Projection en audiodescription



Ressources humaines de Laurent Cantet
Vendredi 16 décembre à 15h, le cycle de projections "Voir autrement" s'était mis aux couleurs de "C'est quoi ce travail ?!" pour la dernière projection de l'évènement. L'audience, composée de 40 personnes et entre autre de déficients visuels, a pu profiter grâce au système d'audiodescription (voix off qui décrit les scènes entre les dialogues) de la projection de film de Laurent Cantet, "Ressources Humaines". A la sortie de la séance, le public très satisfait du choix du film, était intarrissable sur le sujet aussi sensible que passionnant. Rendez-vous était pris pour le mois de janvier…

Vous avez râté ça ?


Projections Le travail au cinéma - samedi 10/12/11


Après-midi non-stop dans l'auditorium de la médiathèque samedi 10 décembre après-midi pour un spécial Le travail au cinéma.
La manifestation C'est quoi ce travail ?! touchant à sa fin, les trois dernières projections (vendredi 16/12 Ressources humaines en audiodescription à 15h00) ont été placées sous le signe de la fiction.
Comment les cinéastes s'emparent-ils de la réalité sociale, quelle est leur représentation du monde du travail (ou du non travail) ? Rétrospectivement, outre le fait que la sélection des films s'est effectuée du fait que les droits de projection publique étaient déjà acquis par la médiathèque, on note certains points communs : à travers ces deux films, It's a free world de Ken Loach et Rosetta des Frères Dardenne, plus que l'univers du travail, on explore d'abord celui du non travail, de l'exploitation humaine et de la survie au quotidien. Par ailleurs, les protagonistes des deux films sont des femmes en lutte contre l'adversité et refusant de baisser les bras. Les deux films racontent chacun à leur manière l'histoire d'une métamorphose - Angie bascule définitivement du statut de victime à celui de bourreau et Rosetta à la manière d'un récit initiatique ancré dans un réel sans concession quitte brutalement l'enfance et se voit trop tôt confrontée à une vie d'adulte.
40 personnes ont assisté à la projection du film de Ken Loach et 60 spectateurs ont suivi Rosetta projeté en seconde partie.
Remarque d'une spectatrice visiblement satisfaite de la séance, que l'on n'ai pas proposé 1 projection suivie d'un débat (un peu à la façon d'un ciné-club). Remarque à prendre en compte pour une prochaine fois surtout lorsque le film proposé traite de sujets forts et parfois dérangeants !

Le travail dans tous ses états !


Rencontre "Jeudis de l'actualité" - Jeudi 8 décembre, 19h
61 personnes ont assisté à cette rencontre dans le cadre des jeudis de l'actualité. Sous l'intitulé volontairement généraliste Le travail dans tous ses états ! , l'objectif était de proposer des pistes de réflexion diversifiées et de donner à entendre de l'information, du débat contradictoire, des témoignages. Initialement, la rencontre devait être modérée par la journaliste Elsa Fayner mais cette dernière retenue au dernier moment par un tournage a été remplacée au pied levé par sa consœur Catherine Pétillon, journaliste au Monde Économie et à France Culture.
Pour accompagner cette exploration, trois invitées venues d’horizons différents : Nathalie Kuperman, romancière, auteure du roman Nous étions des êtres vivants (Gallimard, 2010), Marie Pascual, médecin du travail et Danièle Linhart, sociologue, enseignante chercheuse, directrice de recherche au CNRS.
La qualité des paroles prononcées, les questions du public ont témoigné de l'intérêt porté à la question cruciale du travail et de la nécessité des débats publics sur les sujets de société. Certes, sur un thème aussi vaste, on aurait pu imaginer 1000 plateaux différents. Cependant, grâce aux personnalités qui se sont exprimées ce soir-là, alors qu'effectivement l'optimisme n'était pas franchement de mise - on salue la combattivité de Marie Pascual ! cette soirée a aussi été l'occasion de rencontres humaines très enrichissantes.
Grâce au grand talent et au professionnalisme de Catherine Pétillon, la modératrice qui a su doser subtilement le temps de parole des intervenantes et proposer quelques respirations très bienvenues - la lecture par Nathalie Kuperman de certains passages emblématiques de son roman a constitué plusieurs moments d'émotion assez forts, ce Jeudi de l'actualité a été une très grande réussite.
Blog Et voilà le travail - Elsa Fayner
Nathalie Kuperman, Nous étions des êtres vivants - Gallimard, Blanche, 2010
Elsa Fayner, Et pourtant je me suis levée tôt... une immersion dans le quotidien des travailleurs précaires - Panama, 2007

Vous avez raté ça ?!

Samedi 3 décembre

Goûter Philo


Ce samedi 3 décembre à 10h30, triste météo et peu d’animation dans la médiathèque et plus particulièrement dans l’espace Jeunesse du niveau 1 où était organisé le Goûter Philo sur le thème du travail. Après quelques moments du flou artistique (Frédérique Pernin l’intervenante mise en retard par un problème de métro, les enfants inscrits se faisant attendre...) la rencontre a bien eu lieu en tout petit comité. 4 enfants de 7 à 12 ans dont 3 ont été recrutés sur place, les inscrits ayant fait faux bond, ont donc très sérieusement abordé les notions essentielles liées de travail, de métier et même de pénibilité. Quelle est la définition d’un bon ou d’un mauvais métier ? Qu’est-ce qui est acceptable et qu’est-ce qui ne l’est pas ?
Ce goûter philo a été une réussite : Frédérique Pernin a démontré une grande capacité d’adaptation et de modération. Quant aux 4 participants, leur différence d’âge loin d’être un problème dans la discussion, s’est révélée au contraire source d’enrichissement et d’échange. Le chocolat chaud et les madeleines ont accompagné ce bon moment.


Heure musicale

De 14h30 à 15h30 s’est déroulée dans la salle audiovisuelle de l’espace Image et Son une séance d’écoute Le travail en musique et en chanson.

Panorama en images agrémenté de quelques commentaires, le thème du travail a été abordé de façon partielle depuis les chants de travail - La Briolée aux boeufs moment d’anthologie daté de 1913 marquera les esprits jusqu’à la vision absurde et glaçante de Florent Marchet et Arnaud Caterine dans la Chanson du DRH en passant par l’humour potache mais bien plus fin qu’il n’y paraît du duo de la Chanson du dimanche dans Comme un lundi. Le chômage, les travailleurs immigrés, la contestation révolutionnaire et l’apologie de la paresse ont été parmi les jalons qui ont ponctué notre trop courte déambulation musicale. 17 personnes ont assisté à la séance et pour certaines d’entre elles ont fredonné les airs des chants de marins et les paroles de l’Internationale. Nostalgie oblige, on a pu vérifier qu’Henri Salvador véritable Fregoli dans le clip du travail c’est la santé, etc. déclenchait encore l’hilarité.

L’ensemble des références figure dans la remarquable discographie C’est quoi ce travail ?!. Ce document est en ligne sur le portail des bibliothèques ainsi que sur ce blog. Si vous souhaitez consulter la discographie au format imprimé, merci de vous adresser à la banque Image et Son de la médiathèque (RDC)

Vous avez raté ça ?!


Jeudi 1er décembre            
Le travail : liberté ou esclavage ?

Dans le cadre d’un partenariat Arte / Paris Bibliothèques, la médiathèque a reçu Raphaël Enthoven jeudi 1er décembre. Au fil de l’année prochaine, d’autres films de l’émission Philosophie seront projetés dans différentes bibliothèques du réseau parisien et suivis de rencontres.

La soirée du 1er décembre était placée bien évidemment sous le signe du travail et a débuté par la projection du film de 26 minutes Le travail : liberté ou esclavage ? dans lequel l’invitée de Raphaël Enthoven était la philosophe Michela Marzano. La projection du documentaire a été suivie d’une intervention du seul Raphaël Enthoven. En effet, Michela Marzano , retenue par un colloque en Italie, n’a pu être présente aux côtés du médiatique philosophe animateur. C’est un peu dommage car le débat aurait peut-être gagné en intensité tant la forte présence à l’écran de M. Marzano laissait espérer un débat d’idées animé.

Mais ne boudons pas notre plaisir, Raphaël Enthoven a rempli sa mission car l’auditorium était comble et l’auditoire captif puisqu’environ 130 personnes ont assisté à la rencontre.

Vous avez raté ça ?!

Journée spéciale C’est quoi ce travail ?!
samedi 26 novembre 2011 à la médiathèque Marguerite Duras.


Programme dense pour ce samedi puisque de 11h00 à 16h00, l’auditorium de la médiathèque avait été aménagé pour accueillir organismes et associations du 20ème arrondissement. Etaient présents pour répondre aux questions du public le PLIE, les Antennes jeunes, le Centre social Anam, L’Ecole de la deuxième chance, le centre de prévention Les Réglisses, ainsi que Coopaname, PLIE. Certains partenaires avaient laissé à disposition leur documentation, la MDEE, la Mission Locale rue Vitruve, le Centre social Les Etincelles, le centre social La 20ème Chaise. Est-ce la faute des achats de Noël, du jour choisi ? En dépit de l’investissement des participants et des bibliothécaires, d'un point de vue général, la fréquentation de la médiathèque a été plus faible que d'habitude et le bilan de cette 1ère rencontre est en demie teinte. Cependant, valoriser les initiatives menées autour de l’emploi et mutualiser les ressources restent des objectifs à atteindre pour tous. Depuis début octobre 2011, la médiathèque dispose d’un atout supplémentaire : un médiateur Infos emploi. (Contacter la médiathèque pour en savoir plus).


Après une interruption de 30 mn pour remise en place des chaises et démontage des stands, la seconde partie de la journée a été consacrée à partir de 16h30 à la projection de deux formidables courts métrages des ateliers Varan, (centre de formation à la réalisation documentaire). Une quarantaine de personnes ont ainsi visionné "N’oubliez pas de sourire" de Laurent Marcoz (2003) puis "Femmes au bord des 35 heures" (1999) de Claire Melleni. Les deux réalisateurs étaient présents et ont pu échanger avec les spectateurs pendant un peu plus de 30 mn. Chacun est revenu sur les circonstances de la réalisation des films et a présenté son parcours – Laurent Marcoz dont c’était le 1er film est devenu un documentariste confirmé, alors que Claire Melleni a changé d’orientation professionnelle. Questions très percutantes et pertinentes de la part de spectateurs très motivés (environ 20 étaient restés pour la mini rencontre). Les 2 films parfaitement complémentaires abordent des questions de fond sur notre rapport au travail qui demeurent toujours d’actualité. La rencontre a été aussi l’occasion de revenir sur leur expérience aux ateliers Varan et a donné à la discussion un tour très personnel apprécié du public. Le « plus » : assister à la rencontre des 2 réalisateurs et découvrir leurs nombreux points communs même dans leurs différences, une surprise pour nous et pour eux !
Lien vers le site des ateliers Varan

C'est quoi ce film ?!


Samedi 19 novembre, projection du film de Marcel Trillat, « les Prolos » (2002).
Après une brêve introduction, en présence de 50 personnes, le film est lancé sans problème technique grace à notre super régisseur J-L qui nous permet de mettre en place nos animations dans des conditions excellentes et très professionnelles.

Marcel Trillat est auteur, réalisateur, mais aussi et surtout journaliste de conviction. Elu CGT pendant toute sa carrière. Il se définit lui-même comme un « Homme de gauche ».
Il entre à l'ORTF en 1965 en collaborant au magazine Cinq colonnes à la Une. Directeur adjoint de l’information en 1989, administrateur de France Télévisions de 2001 à son départ en retraite en 2006, ses principes éthiques et convictions franches lui ont valu des déboires. Il est licencié en 1968, mis à l'index par la CGT en 1984 et il réussi l’exploit d’être "mis au placard" de France 2 par la droite en 1986 et par la gauche en 1991.
« Les prolos » constitue, après « 300 jours de colère », et avant « Femmes précaires », le deuxième volet de la trilogie de Marcel Trillat consacrée au monde du travail et à sa face cachée. Il ambitionne de répondre à différentes questions : qui sont les ouvriers aujourd’hui ? Quelles sont leurs aspirations ? Quelles armes leur reste-t-il pour défendre leurs droits ? Quels sont leurs engagements ? Ont-ils conscience d’eux-mêmes et de leur utilité dans la société ?
Pour répondre à ces questions, Marcel Trillat crée un panel représentatif. Il pose sa caméra dans 6 usines de France
A Vénissieux, dans l’usine "Renault trucks", une usine classique où l’inventivité des ouvriers est récompensée par un système de points. A Beauchamp dans l’Oise, dans l’usine 3M, fabriquant Post-it et abrasifs. Dans une usine "modèle" où directeur et syndicalistes travaillent en co-gestion pour éviter licenciements et restructuration. Dans une usine de sous-traitants employés par les chantiers de Saint-Nazaire. Dans une petite usine d’équipement électrique en milieu rural. Enfin, le réalisateur s’intéresse à la condition des employés immigrés soumis à des horaires et des conditions de travail inhumaines.

Extraits d’une interview de 2006, que vous pouvez retrouver sur le site des programmes de France2, accordée au journaliste Mehdi Lounis,

Pourquoi un film sur les prolétaires ?

M.T : Parmi les choses que je portais en moi depuis très longtemps et que j'avais envie de faire avant de partir en retraite, il y avait ce que deux sociologues ont appelé dans un très beau livre un "retour sur la condition ouvrière"1. J'ai eu l'occasion, à plusieurs reprises, de faire des documentaires ou des reportages sur le monde ouvrier, et il me semblait que les hasards de la vie m'avaient un peu éloigné de ce genre de sujet. J'avais envie d'y revenir. Que sont devenus les ouvriers ces trente dernières années ? Qu'est devenue ce qu'on appelait la classe ouvrière ? Je suis issu d'un milieu modeste - mes parents était de petits paysans - et ce monde ouvrier est mon monde d'origine. Donner la parole à cette partie de la population qui ne l'a jamais, c'était aussi une manière de lui être fidèle.

Votre engagement militant a-t-il à voir avec ce choix, de faire un film sur les prolétaires ?

M.T : Quand j'entends, ici ou là, des gens très sûrs d'eux nous expliquer qu'il n'y a pratiquement plus d'ouvriers en France, et qu'à vrai dire on s'en passe très bien, ça me trouble, et j'ai envie d'aller voir ce qu'il en est vraiment. Ne serait-ce que pour pouvoir leur dire : "Arrêtez de dire n'importe quoi !"

Interview de Marcel Trillat

C'est quoi cette conférence ?!

Culture et patrimoine ouvrier
Conférence de Jean-Pierre Besse, docteur en Histoire et président de l'AMOI


Culture ouvrière et patrimoine industriel, voici un beau et vaste sujet qui a fait l’objet d’une conférence hier soir jeudi 17 novembre dans le cadre des Jeudis de l’Actualité du réseau des bibliothèques parisiennes. Assemblée peu nombreuse ce que nous regrettons mais le thème traité est passionnant qu’il s’agisse d’architecture, d’économie ou de politique. Nous avons accueilli Jean-Pierre Besse historien, président de l'Association pour la Mémoire Ouvrière et Industrielle du bassin creillois (AMOI).
Le patrimoine industriel du bassin creillois comprend les communes de Creil, Montataire, Nogent-sur-Oise et Villers-Saint-Paul. L’AMOI est fortement impliquée dans les actions de préservation de ce patrimoine et à travers le discours du conférencier, le public a pu mesurer quelles sont les difficultés quotidiennes sur le terrain (absence de moyens – un local dédié par exemple- difficulté pour organiser une politique d’archivage cohérente, complexité du circuit des aides publiques, relations avec les élus, etc.). La conférence a permis de faire le tour de la question :
« L'étude d'inventaire du patrimoine industriel et commercial de l'agglomération de Creil a débuté en septembre 2006 après la signature d'une convention tripartite entre la Région Picardie, le Conseil général de l'Oise et la Communauté de l'Agglomération Creilloise. Ce recensement concerne le patrimoine industriel et commercial (lieux de négoce, entrepôts liés aux activités industrielles) des quatre communes [...]. Il inclut également les bâtiments sociaux émanant des industriels (cités ouvrières, écoles) et les équipements techniques (machines, outils) permettant de comprendre l'activité des sites. L'essentiel du patrimoine industriel des quatre communes se situe le long d'un axe formé par l'Oise (rive droite) et la ligne de chemin de fer Paris-Bruxelles. [...]. Les logements et les équipements collectifs sont généralement localisés à proximité d'anciens sites industriels et constituent sur certaines communes de véritables quartiers ouvriers. Le bâti commercial enfin est moins présent et se concentre surtout au coeur des zones urbanisées. » Extrait d’un article de Clarisse Lorieux publié en 2006 sur le site de l’Inventaire du patrimoine culturel de Picardie.

site de l'AMOI

Histoire et patrimoine industriel de l'Oise

C'est quoi ce film ?!

Projection Les Lip, l’imagination au pouvoir
Samedi 12 novembre 2011 - auditorium médiathèque M. Duras



Samedi 12 novembre était projeté le film documentaire de Christian Rouaud Les Lip, l’imagination au pouvoir.
Plus d’une cinquantaine de personnes étaient présentes – une assemblée nombreuse même avec une belle météo et un week-end prolongé. Après une brève présentation restituant le contexte de l’histoire des Lip et de la réalisation du film, la projection a commencé. En dépit de quelques problèmes techniques heureusement assez vite résolus, ce film a enthousiasmé les spectateurs au point que certains ont applaudi à la fin. Seules quelques personnes avaient déjà vu le film de Christian Rouaud, autant dire que cette séance a donc constitué une véritable découverte pour la plupart. Histoire exemplaire, protagonistes passionnants, réflexion politique salutaire et formidable aventure collective, autant d’éléments expliquant la réussite du projet et l’adhésion des spectateurs lors de la plupart des projections où le film est programmé.
Prochain RV, samedi 19 novembre avec la projection du film de Marcel Trillat "Les prolos" dans l'auditorium, 15h00.

C'est quoi ce vernissage ?!


Retour sur la performance d’Alice Mercier comédienne chanteuse - Samedi 5 novembre à 16h30, à l'occasion du vernissage de l'exposition de Claudie Fabre.
Accueillir un spectacle un samedi après-midi était une première au sein de l’espace d’exposition du RDC de la médiathèque. Pari tenu et réussi. Après une brève allocution de Christine Péclard, directrice de la médiathèque, c’est l’artiste peintre Claudie Fabre qui a exposé sa démarche et a présenté sa collaboration avec Alice Mercier. Devant un parterre de plus de 80 personnes, la comédienne a captivé le public pendant plus de 40 minutes. Alternant textes et chansons - mention spéciale à son interprétation intense des Mains d’or de Bernard Lavilliers - elle a offert aux nombreux spectateurs un très beau moment d’émotion.

Alice Mercier

Claudie Fabre

C'est qui ce réalisateur ?!



C’est quoi ce travail ?! C'est parti!
Premier événement hier soir à la médiathèque Marguerite Duras, la projection du film de Jean-Michel Carré "J'ai très mal au travail".
Environ 80 personnes étaient présentes pour assister à la séance et échanger avec le réalisateur.Dans une ambiance détendue Jean-Michel Carré a répondu aux questions du public.Comment a-t-il choisi ses intervenants? D’où proviennent ses chiffres ? Pourquoi n’a-t-il pas interviewé d’employés de la fonction publique ?

Jean-Michel Carré est réalisateur, directeur de la photographie, producteur de cinéma et scénariste. Diplômé de l’IDHEC et fondateur de la maison de production Les Films Grain de Sable, il a réalisé de nombreux films, fictions et documentaires.
Le cinéma est pour lui un acte militant servant à dénoncer les travers de la société.

Les Films Grains de sable
Entretien avec Jean-Michel Carré